Les sorties au cinéma

En début après midi le 2ème vendredi du mois

ou En soirée la dernière semaine du mois ;

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Le cinéaste se consacre une nouvelle fois à l’art du “portrait, celui de trois amis . Des amitiés nées autour du cinéma.  ­ ­

“J’ai intensément partagé le travail cinématographique avec certains, jusqu’à une amitié toujours vive. Filmer aujourd’hui ce lien sentimental est un plaisir sans nostalgie. Nos vies croisées nous permettent cette simplicité rapide de ceux qui ne se racontent pas d’histoires, qui savent être devant ou derrière la caméra, dans un ensemble de dons et d’abandon au film.” Alain Cavalier. ­

Avec Dumont, Bresson, Pialat… Alain Cavalier est l’un des réalisateurs de prédilection que La Sagesse de L’image a redécouvert avec Le Plein de super (1976) – Thérèse (1986) – 24 portraits d’Alain Cavalier (1987 et 1991) – Irène (2009) – Pater (2011). Avec des mises en scènes singulières et différentes on notera des convergences : l’emploi d’acteurs et d’actrices non professionnels; une attention au réel et à ses aspérité; un rapport à la fois athée et mystique ; une interrogation puissante sur le dispositif du cinéma.

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Histoire : Halim est marié depuis longtemps à Mina, avec qui il tient un magasin traditionnel de caftans dans la médina de Salé, au Maroc. Le couple vit depuis toujours avec le secret d’Halim, son homosexualité qu’il a appris à taire. La maladie de Mina et l’arrivée d’un jeune apprenti vont bouleverser cet équilibre. Unis dans leur amour, chacun va aider l’autre à affronter ses peurs.

Point de vue : Ce film, au sujet universel, empli d’une élégante bienveillance, est une merveille de douceur et de tact.

Le film a reçu le Valois du meilleur acteur au Festival d’Angoulême et le Prix de la Critique Internationale (FIPRESCI) au Festival de Cannes 2022.

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Résumé : Un vieux cinéma du Sud de l’Angleterre est le théâtre d’une histoire d’amour.

Hilary est responsable d’un cinéma dans une ville balnéaire anglaise et tente de préserver sa santé mentale fragile. Stephen est un nouvel employé qui n’aspire qu’à quitter cette petite ville de province où chaque jour peut vite se transformer en épreuve. En se rapprochant l’un de l’autre, ils vont apprendre à soigner leurs blessures grâce à la musique, au cinéma et au sentiment d’appartenance à un groupe…

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Pour information en lien avec notre programme Bergman :

Résumé :

À la veille du voyage qu’il va entreprendre pour fêter le jubilé qui doit commémorer ses cinquante ans de carrière, le professeur Borg fait un rêve où il entrevoit sa mort… Confiant à Victor Sjöström, le « père » du cinéma suédois, le rôle principal, insérant dans les images hautement symboliques du rêve du héros des allusions au chef d’œuvre du maître, La Charrette fantôme, Bergman réalise à 40 ans, en plein succès, une sorte de film testamentaire. Paradoxalement, c’est aussi un film léger, une sorte de réveil à la vie au moment du bilan. Bergman confie ses messages à une extraordinaire galerie de visages sculptés par la lumière et dont les regards disent les épreuves et les espoirs. C’est certainement un des sommets de son œuvre.

Séance annoncée « Cinéma avec Lacan », sans doute y aura t’il un débat . Le lien ici

Lundi 5 décembre au Katorza 

« Aucun Ours » de Jafar Panahi 

Résumé  » Dans un village iranien proche de la frontière, un metteur en scène est témoin d’une histoire d’amour tandis qu’il en filme une autre. La tradition et la politique auront-elles raison des deux ?

 

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Ciné-débat en soutien aux iraniens et à leurs cinéastes

 Dans un contexte de révolution en Iran où les personnes investies dans la culture sont victimes de répression depuis de très nombreuses années, et de façon renforcée aujourd’hui en 2022, la Sagesse de l’Image vous propose un film en soutien aux femmes, aux acteurs, producteurs, réalisateurs du cinéma de ce pays et à son peuple.

GABBEH 1h 15min

Réalisé par Mohsen Makhmalbaf 1996

Sélection officielle un certain regard cannes 1996

Résumé
Dans le sud-est de l’Iran, un peuple nomade dont la spécialité est de tisser des gabbehs, tapis perses aux motifs inspirés de leur vie, disparaît peu à peu… Au bord d’une rivière, une vieille femme en train de laver un gabbeh semble converser avec le fabuleux tapis : ses motifs retracent l’histoire d’une jeune fille confrontée par sa famille à l’interdiction d’aller retrouver l’homme qu’elle aime.


Nous envisageons une deuxième séance  le 3ème mercredi de novembre autour du film par exemple avec : « Le Diable n’existe pas » de Mohammad Rasoulof emprisonné pour soutien à Jafar Panahi, emprisonné pour 6 ans. Ou un autre film iranien que vous aurez envie de nous suggérer.

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Histoire : Mila, une jeune femme qui vit chez ses parents, est enceinte
et souhaite se marier. Mais son père, ex-policier violent et possessif, n’est
pas décidé à la laisser quitter le nid familial.


Point de vue : Sorti en 1981 et présenté à Cannes en 1982 en  même temps que son autre long-métrage Batch ’81, le film est inspiré d’un fait divers philippin ayant secoué le pays. Il prend la
forme d’un thriller familial qui permet au cinéaste d’insuffler un suspense hitchcockien maîtrisé grâce à une écriture très efficace.

Présenté à Cannes lorsque les Philippines étaient sous l’autorité du dictateur Marcos, Kisapmata tend également vers l’allégorie de la dictature avec ce père tyran, roi dans son domaine. Kisapmata est à
la fois un film de genre et un film profond plein de signes, de symboles, et d’échos raisonnant particulièrement dans son contexte de sortie, et trouvant encore un sens aujourd’hui.


Rendez-vous à 20h45 avec la monnaie devant le cinéma ou à l’intérieur s’il pleut, afin d’encaisser les billets pour faire un règlement global.

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Sortie cinéma  vendredi 19 novembre à 13h30 au Katorza

L’innocent  1h39



Réalisé par Louis Garrel 2022 

Rendez-vous à 13h30 avec la monnaie devant le cinéma ou à l’intérieur s’il pleut, afin d’encaisser les billets pour faire un règlement global. La séance est à 13h55

Le prix pour tous est de 4€    Un tarif solidaire à 2€

N’oubliez pas de vous inscrire à la sortie en écrivant un nouveau message à l’adresse lasagessedelimage@gmail.com  Mettre dans l’objet « inscription et le titre du film »

Adresse : Cinéma Katorza, 3 Rue Corneille, 44000 Nantes

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Lundi 28 novembre sortie au Katorza  

Aucun Ours 

en soutien aux iraniens et à leurs cinéastes

 Dans un contexte de révolution en Iran où les personnes investies dans la culture sont victimes de répression depuis de très nombreuses années, et de façon renforcée aujourd’hui en 2022, la Sagesse de l’Image vous propose un film en soutien aux femmes, aux acteurs, producteurs, réalisateurs du cinéma de ce pays et à son peuple.

Nous envisageons une sortie cinéma Au Katorza sur le film « Aucun ours » la dernière semaine de novembre en soutien à Jafar Panahi, emprisonné pour 6 ans.

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vendredi 21 octobre à 13h30 au cinéma Katorza

Simone 2h20

Réalisé par Olivier Dahan 2022 –

Avec Elsa Zylberstein

Histoire : Le destin de Simone Veil, son enfance, ses combats politiques, ses tragédies. Le portrait épique et intime d’une femme au parcours hors du commun qui a bousculé son époque en défendant un message humaniste toujours d’une brûlante actualité.


Rendez-vous à 13h30 avec la monnaie devant le cinéma ou à l’intérieur s’il pleut, afin d’encaisser les billets pour faire un règlement global.  La séance est à 13h45

Le prix pour tous est de 4€     Un tarif solidaire à 2€

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OCTOBRE ROSE

vendredi 14 octobre 2022, à 18h30

projection et débat animée par La Sagesse de L’image   

suivi d’un échange avec le Dr Anne-Sophie OGER,                        chirurgien du sein de la clinique Jules Verne   

prendre soin, prévenir, guérir   

 DE PLUS BELLE

film écrit et réalisé par d’Anne-Gaëlle Daval   
avec
Florence Foresti, Mathieu Kassovitz, Nicole Garcia

Résumé : Lucie, qui vient de se remettre d’un cancer du sein, va être poussée par sa famille à recommencer à sortir et voir du monde. Elle fera la connaissance de Clovis. Ce dernier tentera tout pour séduire Lucie, qui ne se laissera pas facilement charmer. Mais grâce à Dalila, une prof de danse incomparable, elle va retrouver goût au jeu de la séduction, elle va apprendre à s’aimer à nouveau…

Centre socioculturel LA PILOTIÈRE – salle polyvalente
31 rue des platanes, Nantes / TAN : C1 – arrêt platanes

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 Samedi 8 octobre

la Sagesse de l’image et le Passage Sainte Croix
Batignolles Retrouvailles, 

les amicales laïques de Saint Joseph de Porterie et des Marsauderies, 

 présentent :

« Retrouvailles Batignolles » : Mémoire d’un quartier ouvrier

AU PROGRAMME :

À 18H RENDEZ-VOUS À LA MAISON EN PLANCHE DES BATIGNOLLES

Visite conférence du quartier des Batignolles et de son usine centenaire par l’association Batignolles-Retrouvailles.

Gratuit- Sans réservation

Adresse : La maison en planche, 30 Boulevard des Batignolles

À 20H15 À LA SALLE NANTES ERDRE : 

PRÉSENTATION DE L’ASSOCIATION BATIGNOLLES RETROUVAILLES

Pot convivial et présentation de l’association Batignolles-Retrouvailles.

À 21H 30 À LA SALLE NANTES ERDRE : CINE-DEBAT

Le pain noir et les roses rouges

Réalisé par Marc Gangiens  2008 – 52 min.

Résumé : Ce documentaire retrace l’histoire de l’usine métallurgique des Batignolles, délocalisée de Paris à Nantes au lendemain de la Première guerre mondiale, des luttes et des grèves insurrectionnelles depuis 1920 jusqu’aux années 1970.

Gratuit – Sans réservation

Adresse : Salle Nantes Erdre, 251 Rte de Saint-Joseph, 44300 Nantes

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